De ton corps jaillit la lumière
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De ton corps jaillit la lumière
De ton corps jaillit la lumière
De ton corps jaillit la lumière
Avec douceur et belle manière
En fusant ce qui est nécessaire,
Pour étouffer la clarté lunaire
Et libérer cet essaim d’espoirs
Hiberné au fond de ma mémoire.
Je te sens fière, au fond de moi
Tu reflètes l’écho de la voix,
Qui éveille mon esprit aviné
Dans un corps durement vanné.
Par ta clarté la vie se régénère
Et le monde devient prospère,
Par ton harmonie les étoiles
S’embellissent et s’étiolent
La splendeur des cieux, belle
Dans ton innocence, rebelle
Aux influences des vauriens,
Plus tu vieillis, plus tu deviens
Douce, l’âge n’a pas vaincu
Ton corps et ton esprit étendu,
Ton cœur engorgé de pitié
Substitue tes rudes en suavité,
À moi, tu demeures la femme
Unique qui attise la flamme
De mon existence, modère
La sévérité de ma colère
Et alimente tous les rêves
Qui font circuler la sève
Du sang dans mes veines.
Tel un ange à l’âme sereine,
Tu dissipes ma folie
Dans ta tendresse infinie.
Dad Allaoua
De ton corps jaillit la lumière
Avec douceur et belle manière
En fusant ce qui est nécessaire,
Pour étouffer la clarté lunaire
Et libérer cet essaim d’espoirs
Hiberné au fond de ma mémoire.
Je te sens fière, au fond de moi
Tu reflètes l’écho de la voix,
Qui éveille mon esprit aviné
Dans un corps durement vanné.
Par ta clarté la vie se régénère
Et le monde devient prospère,
Par ton harmonie les étoiles
S’embellissent et s’étiolent
La splendeur des cieux, belle
Dans ton innocence, rebelle
Aux influences des vauriens,
Plus tu vieillis, plus tu deviens
Douce, l’âge n’a pas vaincu
Ton corps et ton esprit étendu,
Ton cœur engorgé de pitié
Substitue tes rudes en suavité,
À moi, tu demeures la femme
Unique qui attise la flamme
De mon existence, modère
La sévérité de ma colère
Et alimente tous les rêves
Qui font circuler la sève
Du sang dans mes veines.
Tel un ange à l’âme sereine,
Tu dissipes ma folie
Dans ta tendresse infinie.
Dad Allaoua
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