Puis-je demeurer silencieux
Page 1 sur 1
Puis-je demeurer silencieux
Puis-je demeurer silencieux
Puis-je demeurer sans cesse
L’homme poignardé dans le dos,
Ou, faire exploser ma jeunesse
Dans la douceur de tes mots,
Moi, qui encaissais les claques
Pour m’éterniser près de toi,
Même, si les vents de la panique
Emporteraient ma sincère voix.
Puis-je résister à la rage
De ce tourbillon de souvenirs ?
Ou, à ce flot d’ondes et d’images,
Me rappelant le beau sourire
Qui m’a mis entre les mâchoires
Du silence. Mon cœur te parle,
Il te conte tristement l’histoire
D’un rebelle que tu musèles,
Sans lui permettre d’exprimer
Ce que le cœur lui chuchote
Dans une ambiance enflammée
Par les attirances et les doutes.
Je reste me reposer sous ton
Ombre loin des cris de la foule,
Je veux m’armer par la raison,
Qui me liera à tes envies folles,
Elles font de toi l’étrange dryade,
Qui réincarne l’esprit des arbres
Et emprisonne celui d’un aède,
Qui observe son âme se perdre
Dans l’extravagance de tes sens,
Je regrette que tu n’aies pas encore
Compris les jours que je dépense,
Pour raviver cet amour pur, or
Il est temps, mon ange, de dire
Qui à donné à mon cœur l’élan ?
Sans laisser ton jardinet fleurir
Par la lumière du soleil levant.
Dad Allaoua
Puis-je demeurer sans cesse
L’homme poignardé dans le dos,
Ou, faire exploser ma jeunesse
Dans la douceur de tes mots,
Moi, qui encaissais les claques
Pour m’éterniser près de toi,
Même, si les vents de la panique
Emporteraient ma sincère voix.
Puis-je résister à la rage
De ce tourbillon de souvenirs ?
Ou, à ce flot d’ondes et d’images,
Me rappelant le beau sourire
Qui m’a mis entre les mâchoires
Du silence. Mon cœur te parle,
Il te conte tristement l’histoire
D’un rebelle que tu musèles,
Sans lui permettre d’exprimer
Ce que le cœur lui chuchote
Dans une ambiance enflammée
Par les attirances et les doutes.
Je reste me reposer sous ton
Ombre loin des cris de la foule,
Je veux m’armer par la raison,
Qui me liera à tes envies folles,
Elles font de toi l’étrange dryade,
Qui réincarne l’esprit des arbres
Et emprisonne celui d’un aède,
Qui observe son âme se perdre
Dans l’extravagance de tes sens,
Je regrette que tu n’aies pas encore
Compris les jours que je dépense,
Pour raviver cet amour pur, or
Il est temps, mon ange, de dire
Qui à donné à mon cœur l’élan ?
Sans laisser ton jardinet fleurir
Par la lumière du soleil levant.
Dad Allaoua
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|