Mère ! Je te vois s’affaiblir
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Mère ! Je te vois s’affaiblir
Mère ! Je te vois s’affaiblir
Mère ! Je te vois s’affaiblir
De plus en plus, au fond d’un
Lit tu te prépares à mourir
Avec dignité, même si le teint
De ton visage aurait changé,
Tu gardes toujours le sourire,
Qui dissimule bien le danger
Forçant ton corps à maigrir.
Sache ! Que je t’aime tant !
De tous mes souvenirs, ton
Pardon est le plus exaltant,
De tous mes refuges, le fond
De ton cœur est le plus apaisant,
De tous les consolations, ta voix
Est la plus présente, dans
Sa profondeur je trouve la voie
De la raison et l’odeur du sang
Qui circule dans mes artères.
Ô mère ! Je t’aime à l’égal
De l’oxygène que je respire
Et de toutes les belles choses
Faisant de moi un homme
Respectable, qui s’oppose
Souvent à la force des armes
Par l’amour et la générosité.
Ô mère ! Je vois tes paupières
S’ouvrir avec difficulté,
Ton corps inondé de sueur
Trépide des douleurs atroces
Et persistantes, que le mal infernal
Provoque souvent en silence
Pour te mener à l’instant fatal.
Ô mère ! Cesse donc de faire
Tes adieux, avec mes yeux,
Je vois encore la lumière
Jaillir de ton corps gracieux.
Ton âme refuse d’aller au ciel,
Par ton beau sourire, résiste !
En moi tu vis, tu es le soleil
Qui m’échauffe. je persiste
À soulever ta tête, admire
Autour de toi tes progénitures,
Trouve en toi la voie prospère
Loin des peines que tu endures.
Dad Allaoua
.Mère ! Je te vois s’affaiblir
De plus en plus, au fond d’un
Lit tu te prépares à mourir
Avec dignité, même si le teint
De ton visage aurait changé,
Tu gardes toujours le sourire,
Qui dissimule bien le danger
Forçant ton corps à maigrir.
Sache ! Que je t’aime tant !
De tous mes souvenirs, ton
Pardon est le plus exaltant,
De tous mes refuges, le fond
De ton cœur est le plus apaisant,
De tous les consolations, ta voix
Est la plus présente, dans
Sa profondeur je trouve la voie
De la raison et l’odeur du sang
Qui circule dans mes artères.
Ô mère ! Je t’aime à l’égal
De l’oxygène que je respire
Et de toutes les belles choses
Faisant de moi un homme
Respectable, qui s’oppose
Souvent à la force des armes
Par l’amour et la générosité.
Ô mère ! Je vois tes paupières
S’ouvrir avec difficulté,
Ton corps inondé de sueur
Trépide des douleurs atroces
Et persistantes, que le mal infernal
Provoque souvent en silence
Pour te mener à l’instant fatal.
Ô mère ! Cesse donc de faire
Tes adieux, avec mes yeux,
Je vois encore la lumière
Jaillir de ton corps gracieux.
Ton âme refuse d’aller au ciel,
Par ton beau sourire, résiste !
En moi tu vis, tu es le soleil
Qui m’échauffe. je persiste
À soulever ta tête, admire
Autour de toi tes progénitures,
Trouve en toi la voie prospère
Loin des peines que tu endures.
Dad Allaoua
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