En cette vie tout dérange
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En cette vie tout dérange
En cette vie tout dérange
En cette vie tout dérange,
Univers absurde régi
Par un chant de mésange
Mystérieux, qui resplendit
Sur l’étendue des cieux.
Dans nos cœurs rayonne
Le zéphyr doux et gracieux
D’un monde sans bornes
Où s’unissent les âmes
Perdues dans la complexité
Des réflexions, où pâment
D’argutie les esprits déroutés
Par un futur incertain
D’une société en ébullition
Confrontée à un destin,
Qui fait danser le démon
Au feu des souffrances
Dures. Tout est absurdité !
On meurt d’impatience,
On veut atteindre l’éternité
Sur le défilement accéléré
Des jours. Les paroles
Insensés sur les éclats dorés
Dévoilent l’allure drôle
Des êtres, qui tracent par
Le sang la voie trompeuse
D’une ambiance barbare
Dévorant les âmes rêveuses.
Au dessus de nous, le ciel
Est splendide, les astres
Donnent l’éclat vermeil
À une nature où le sistre
Résonne sans éveiller
Les consciences, le soleil
Se lève sans échauffer
Les esprits ensommeillés.
En nous, tout est mystérieux !
On écoute en cachette
Le chant doux et gracieux,
Qui tourne souvent les têtes,
Qu’on veuille décapiter
Par le glaive de la déraison
Dans un spectre, où l’humanité
Menée sur l’aile de l’abjection
Affirme bien que la vanité
Reste le mal fatal, qui ronge
Les bienfaits de la bonté
Par les fausses louanges.
Dad Allaoua
En cette vie tout dérange,
Univers absurde régi
Par un chant de mésange
Mystérieux, qui resplendit
Sur l’étendue des cieux.
Dans nos cœurs rayonne
Le zéphyr doux et gracieux
D’un monde sans bornes
Où s’unissent les âmes
Perdues dans la complexité
Des réflexions, où pâment
D’argutie les esprits déroutés
Par un futur incertain
D’une société en ébullition
Confrontée à un destin,
Qui fait danser le démon
Au feu des souffrances
Dures. Tout est absurdité !
On meurt d’impatience,
On veut atteindre l’éternité
Sur le défilement accéléré
Des jours. Les paroles
Insensés sur les éclats dorés
Dévoilent l’allure drôle
Des êtres, qui tracent par
Le sang la voie trompeuse
D’une ambiance barbare
Dévorant les âmes rêveuses.
Au dessus de nous, le ciel
Est splendide, les astres
Donnent l’éclat vermeil
À une nature où le sistre
Résonne sans éveiller
Les consciences, le soleil
Se lève sans échauffer
Les esprits ensommeillés.
En nous, tout est mystérieux !
On écoute en cachette
Le chant doux et gracieux,
Qui tourne souvent les têtes,
Qu’on veuille décapiter
Par le glaive de la déraison
Dans un spectre, où l’humanité
Menée sur l’aile de l’abjection
Affirme bien que la vanité
Reste le mal fatal, qui ronge
Les bienfaits de la bonté
Par les fausses louanges.
Dad Allaoua
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