Le lever de l’aurore
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Le lever de l’aurore
Le lever de l’aurore
Je passe mes nuits à observer
l’espoir se germer dans ton lever,
Tu éclaires ma voie, tel un ange
tu construis mes beaux songes,
tu chasses les choses angoissantes
Par une apparition rassurante,
Qui ramène à l’horizon la clarté
aux cœurs tristes la fierté,
Aux esprits sobres la sympathie.
Par tes magnifiques symphonies,
Tu envoies mon âme sereine
voyager sur les ondes fines
Dans des rêves extraordinaires,
Qui fascinent mon esprit solitaire
Dans l’exil et mon âme foraine
Perdues dans la nature humaine.
Je t’en prie aurore, témoigne !
Mes nuits sont celles du bagne,
Sens les peines de mon âme errante,
Ta clarté n’est pas obéissante,
Elle trahie tes désirs et mes rêves.
Regarde-moi ! Je me lève
tôt pour arroser les jolies fleurs,
qui s’épanouissent de ta chaleur.
Dès ton lever, les renards quittent
le village, les charognards partent,
les habitants se lèvent tranquilles
Sous le chant d’un coq royal et subtil.
Les pécheurs rabattent les filets,
Fatigués, ils deviennent muets
à leurs soupirs, rien que ta beauté
Et le vent matinal sans sévérité,
Qui ressuscitent les espoirs
En chassant l’humeur noire
Pour faire trembler mon corps
Par ton majestueux éclat d’or.
Dad Allaoua
Je passe mes nuits à observer
l’espoir se germer dans ton lever,
Tu éclaires ma voie, tel un ange
tu construis mes beaux songes,
tu chasses les choses angoissantes
Par une apparition rassurante,
Qui ramène à l’horizon la clarté
aux cœurs tristes la fierté,
Aux esprits sobres la sympathie.
Par tes magnifiques symphonies,
Tu envoies mon âme sereine
voyager sur les ondes fines
Dans des rêves extraordinaires,
Qui fascinent mon esprit solitaire
Dans l’exil et mon âme foraine
Perdues dans la nature humaine.
Je t’en prie aurore, témoigne !
Mes nuits sont celles du bagne,
Sens les peines de mon âme errante,
Ta clarté n’est pas obéissante,
Elle trahie tes désirs et mes rêves.
Regarde-moi ! Je me lève
tôt pour arroser les jolies fleurs,
qui s’épanouissent de ta chaleur.
Dès ton lever, les renards quittent
le village, les charognards partent,
les habitants se lèvent tranquilles
Sous le chant d’un coq royal et subtil.
Les pécheurs rabattent les filets,
Fatigués, ils deviennent muets
à leurs soupirs, rien que ta beauté
Et le vent matinal sans sévérité,
Qui ressuscitent les espoirs
En chassant l’humeur noire
Pour faire trembler mon corps
Par ton majestueux éclat d’or.
Dad Allaoua
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