Les réticences nous mènent vers l’inconnu
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Les réticences nous mènent vers l’inconnu
Les réticences nous mènent vers l’inconnu
Les réticences nous mènent vers l’inconnu
Sans comprendre que c’est la passivité
Et la froideur qui enfantent les démons cornus
Qui essayent de détruire l’entière humanité ;
Soyons conscients de ce silence, il nous enivre
Du souffle glacial d’un avenir indéchiffrable
Imposé par ceux qui puisent des cadavres
La force d’alimenter notre confusion durable ;
L’indifférence s’érige toujours en faiblesse,
Elle génère l’insensibilité stupide au déshonneur
En nous faisant oublier que la vraie richesse
Demeure dans la noble générosité des cœurs
Et la force reste dans la raison souveraine ;
Arrêtons de mêler le sommeil à la mort
Sans remédier au désordre qui nous gangrène
En exacerbant le sentiment des remords ;
Cessons d’espérer sans succès, la vie sourit
À ceux qui travaillent jours et nuits, à ceux
Qui dépassent l’extrême limite sans être surpris
Ou craindre les scélérats aux cheveux crasseux
Qui sèment la terreur, travaillent sans fruit
Et s’emporte dans l’illusion d’un songe funeste
Pour assombrir les jours et prolonger les nuits
Obscures en répandant dans nos pays la peste.
Dad Allaoua
Les réticences nous mènent vers l’inconnu
Sans comprendre que c’est la passivité
Et la froideur qui enfantent les démons cornus
Qui essayent de détruire l’entière humanité ;
Soyons conscients de ce silence, il nous enivre
Du souffle glacial d’un avenir indéchiffrable
Imposé par ceux qui puisent des cadavres
La force d’alimenter notre confusion durable ;
L’indifférence s’érige toujours en faiblesse,
Elle génère l’insensibilité stupide au déshonneur
En nous faisant oublier que la vraie richesse
Demeure dans la noble générosité des cœurs
Et la force reste dans la raison souveraine ;
Arrêtons de mêler le sommeil à la mort
Sans remédier au désordre qui nous gangrène
En exacerbant le sentiment des remords ;
Cessons d’espérer sans succès, la vie sourit
À ceux qui travaillent jours et nuits, à ceux
Qui dépassent l’extrême limite sans être surpris
Ou craindre les scélérats aux cheveux crasseux
Qui sèment la terreur, travaillent sans fruit
Et s’emporte dans l’illusion d’un songe funeste
Pour assombrir les jours et prolonger les nuits
Obscures en répandant dans nos pays la peste.
Dad Allaoua
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