Je suis l’homme épris de liberté
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Je suis l’homme épris de liberté
Je suis l’homme épris de liberté
Je suis l’homme épris de liberté
Ignorant les sciences du langage,
Mon esprit enflammé de fierté
Se forme dans les longs voyages
Ma destination est la terre inconnue,
Qui engorge mon cœur d’amour
Et chasse loin les têtes cornues
Dormant au bruit des tambours.
Je refuse les lieux de cachette
Et j’écoute le chant du rossignol,
En s’étendant sur ma couchette
Je conquiers la liberté de parole.
J’aime crier à haute voix et dire
Les choses telles qu’elles sont
Sans jouer sur les mots ou s’interdire
De faire usage de la raison.
Je m’éloigne de la foule en délire
Sans jamais être le juge enquêteur
Qui perçoit le mal dans le sourire
Radieux et innocent des rêveurs.
J’avance dans l’océan des âges
Sans se plaindre de la faiblesse
Qui me laisse croire au vieil adage
Prédisant l’immense tristesse.
Je vis là où le soleil rayonne,
Là où la bonté engorge les cœurs,
Là où la voix du pardon résonne
Pour faire cesser le bruit de fer.
Je rêve d’un monde sans slogans,
Un monde où il n’y a ni faible ni fort,
Où, les mains ne se tachent pas de sang
Et les peuples jouissent d’un confort.
Un monde où le sourire authentique
Orne les visages et l’amour du prochain
Rend l’existence magnifique
Par des agissements plus humains.
Dad Allaoua
Je suis l’homme épris de liberté
Ignorant les sciences du langage,
Mon esprit enflammé de fierté
Se forme dans les longs voyages
Ma destination est la terre inconnue,
Qui engorge mon cœur d’amour
Et chasse loin les têtes cornues
Dormant au bruit des tambours.
Je refuse les lieux de cachette
Et j’écoute le chant du rossignol,
En s’étendant sur ma couchette
Je conquiers la liberté de parole.
J’aime crier à haute voix et dire
Les choses telles qu’elles sont
Sans jouer sur les mots ou s’interdire
De faire usage de la raison.
Je m’éloigne de la foule en délire
Sans jamais être le juge enquêteur
Qui perçoit le mal dans le sourire
Radieux et innocent des rêveurs.
J’avance dans l’océan des âges
Sans se plaindre de la faiblesse
Qui me laisse croire au vieil adage
Prédisant l’immense tristesse.
Je vis là où le soleil rayonne,
Là où la bonté engorge les cœurs,
Là où la voix du pardon résonne
Pour faire cesser le bruit de fer.
Je rêve d’un monde sans slogans,
Un monde où il n’y a ni faible ni fort,
Où, les mains ne se tachent pas de sang
Et les peuples jouissent d’un confort.
Un monde où le sourire authentique
Orne les visages et l’amour du prochain
Rend l’existence magnifique
Par des agissements plus humains.
Dad Allaoua
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